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Malgré la déception due à ce manque de stratégie, je suis impressionné par le potentiel de cette côte.
]]>Le royaume des grimpeurs, des centaines de voies reconnues et des milliers à découvrir!
Des amandiers poussent dans ce paysage aride. Ils sont en fleur, et choquent par leur poétique fragilité.
Une ballade en vélo au milieu de ce terrain accidenté a pleinement satisfait nos désirs d’efforts et d’ adrénaline.
Encore une journée magique au pays des surprises agréables.
Si ça ne tient pas en haut.
Alors pour dépanner, on se raccroche en soaring sur les falaises côtières.
Faut dire que nous faisons bien dans ce paysage grandiose, à notre place.
Un peu d’ air marin ne peut pas faire de mal en fait, si ce n’est à ma voile!
A +.
Le lac Sidi Bourhabi est situé en retrait de la plage de Marbela, près de la ville de Kenitra. Il aurait été créé par les Américains, dans les années 60. Aide au développement?
Il est devenu un lieu de passage important pour les cigognes, les flamants roses et bien d’autres migrants aériens.
C’était sans compter sur les bienfaits du capitalisme , en fait de réserve la majeure partie des berges est atteignable en voiture ou presque. La tranquillité, l’ harmonie du lieu ont déclenché leur propre processus destructif!
Les gentils Marocains, nouveaux possesseurs de jolies voitures ne semblent plus prêts à s’ en éloigner de plus de quelques mètres…si ils en sortent.
Qu’ en pensent les oiseaux? Ils boudent dans la partie haute du lac, plus difficile à atteindre.
Un vol groupé de cigognes, en soaring au-dessus de la forêt surplombant le lac, me fascine pour un temps. Puis un promeneur, enfant du pays, vient se confier à moi d’un air outré sur la maltraitance faite par les visiteurs à la nature et à « la maison des oiseaux ».
Et si les cigognes se regroupent en compagnie des mouettes, m’explique monsieur Hassan, amoureux de son coin de nature, c’est pour survoler une décharge, cachée derrière la colline.
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