Il est donc important de commencer son périple dans un endroit bien choisi.
Haridward et Richikesh, deux villes distantes de vingt cinq kilomètres et situées au pied des premiers contreforts Hymalayens m’a donc semblé bien adapté à un premier contact avec les extras terrestres Indiens pour mon amie Françoise.
Le Gange sort des montagne à cet endroit et commence son périple à travers les grandes plaine.
Déjà large et puissant, son eau est « sacrément » fraîche mais n’arrête pas le dévot dans ses ablutions.
Une fois notre visite de courtoisie au fleuve nourricier effectuée nous sommes prêts à nous rendre dans l’Himachal Pradesh, via Chandigarh, pour enfin rejoidre Bir, point de pivot de nos futures expèditions.
Et lieu de vol préféré des ombrelles volantes.
]]>C’est donc en timepass obligé que nous regardons la pluie tomber et les montagnes blanchir.
La neige, peu abondante dans l’ Hymalaya l’hiver dernier, semble vouloir se rattraper au dernier moment.
En indécrotables optimistes nous nous disons: dès que le soleil fera son retour triomphant, nous aurons droit à un contraste thermique à faire voler des briques…
Mais pour l’instant on se les gèle et le soleil nous snobe.
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Ca c’était hier…
]]>s’adapter aux coutumes locales , à la nourriture, au décalage horaire prends quelques jours.
Par chance les conditions de vol sont inexistantes.
Cela à m évite le risque d insolation qui guette tout nouveau venu à Goa.
A tout bientôt.
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