Pas de vent, pas grave !
Eole ayant décidé de se la jouer; faites sans moi, je reviens plus tard …peut-être ? Avec Martin nous décidons de sortir la grosse artillerie.
Mais avant tout un peu de maintenance du matériel s’impose.
Les voiles de Dean et Martín ont les même symptômes. Peine à monter, lentes… et ce n’est pas la chaleur.
Une petite séance de stretching de suspentes s’impose.
Une poulie, un contrepoids de 20 kg. , une corde et quelques litres de sueur plus tard, nos voiles sont à nouveau toutes guillerettes.
Nous sommes fin prêts pour le gross vroum _ vroum.
Porter le moteur, 25 kg, jusqu’à la plage n’est pas une mince affaire par cette chaleur, c’est donc Martin qui s’en charge… il est jeune.
Après un départ au quart de tour, un calage intempestif, quelques dizaines de traction sur la corde de cette machine à gazon . . . ça tourne.
Nous sommes au bord de l’évanouissement par déshydratation mais contents.
Et Martin peut nous faire une superbe démonstration.
Puis c’est mon tour, c’est la seconde fois que j’essaie une de ces machines.
Le décollage n’est pas si compliqué, il suffit de faire comme expliqué, ne PAS se pencher en avant, et ne PAS relacher les gaz pendant la première phase ascensionnelle.
Très rapidement la plage s’éloigne et monter à 50 m ne prends que quelques secondes.
Le paramoteur, ça fait du bruit, ça vibre, ça pue mais c’est trop fou !