Vidé
Encore deux postes demandent à être écrits pour clore cette parenthèse Marocaine. Parenthèse englobant un si grand nombre d’événements, d’émotions, de saveurs qu’elles sont gonflées, distendues.
Mais la réalité du travail Suisse me rattrape, me vampirise. Suce, consomme jusqu’à la dernière goutte d’énergie.
J’aime mon travail, et mes « frères dans la sueur » sont plus que fréquentables.
Mais est-ce bien raisonnable, vendre son corps, ses muscles, y compris le cerveau, pour quelque menue monnaie. Même lourde comme notre si chéri franc Suisse.
Mais promis, dès que l’hébétude occasionnée par mon esclavagisme volontaire se sera apaisée, je me met à la tâche.
Camarades de tous les pays….la lutte continue, et nous perdons.